L’harmonie de l’environnement périurbain, le respect du bien vivre ensemble, la santé publique : si la commune s’appuie sur un ensemble de réglementations strictes, elle n’en néglige pas moins l’écoute et la réflexion afin de construire un cadre de vie accueillant et agréable pour tous. Sancé met tout en œuvre pour préserver la biodiversité et proposer des ensembles paysagers attractifs, tout en répondant aux besoins urbanistiques et sociaux actuels, sans compromettre les évolutions futures.
Sancé a préservé deux coulées vertes, deux poumons, essentiels à la commune : l’une qui part de la Grisière, se prolonge par le pré des lavoirs, l’arrière de la salle des fêtes, l’espace du Pré des Mares pour terminer au niveau de la ZAC des Platières ; l’autre qui traverse la nouvelle ZAC du Centre Bourg.
Le fil conducteur des aménagements paysagers et du fleurissement est d’offrir un cadre de vie agréable et de renforcer l’identité champêtre et dynamique de la commune, tout en participant au lien social.
La première coulée verte s’étire sur 3 kms et traverse le territoire de l’ouest à l’est.
Le secteur de la Grisière, sur les hauteurs de la commune, représente un premier espace naturel composé de bois, de chemins de randonnées et d’une mare. Il marque le commencement de la coulée verte, à l’ouest de la commune.
Cet espace a fait l’objet d’un reboisement, en lien avec l’Office National des Forêts (ONF).
Il constitue la coulée verte qui redescend de la Grisière vers le centre du village. Il est séparé par le Tariaudin (ruisseau naturel) et un cheminement piétonnier agrémenté de bancs.
Cet espace possède des éléments paysagers et architecturaux remarquables, comme la mare, reliée à un lavoir par un petit aqueduc.
Cet espace est un lieu où cohabitent la nature (canards, poissons, insectes, plantes, arbres, eau) et l’humain (cheminement piétons).
Cet espace vert en plein cœur de village s’intègre dans la coulée verte.
Il relie la place Yves Hall, au centre du village, à la salle de sport et au groupe scolaire grâce à un cheminement piéton.
Il est agrémenté de nombreux bancs, de terrains de pétanque et de 2 courts de tennis. Il comporte également un jardinet partagé et un hôtel à insectes, à l’arrière de la médiathèque.
Cet agorespace comprend plusieurs espaces ludiques : aire de jeux pour enfants, city stade pour pratiquer le basket et le football en plein air, sans oublier un cross park.
Le bas du pré est volontairement plus naturel (entretien moins intensif) afin de réaliser une année sur deux, un labyrinthe, « le Laby’Herbe ».
En prolongement, vient la seconde coulée verte, réalisée par la mairie, en direction du nord.
Cet aménagement relie, par un cheminement piéton, différents lotissements et la résidence intergénérationnelle au centre bourg. Il offre un beau point de vue sur les bâtiments publics.
Il comporte un verger conservatoire (réalisé avec l’aide des élèves du lycée agricole de Davayé), une ruche cheminée, un site de compostage collectif et une bande fleurie pour la protection des abeilles.
Sancé compte plusieurs équipements sportifs : une salle de sport, un stade de foot, des terrains de tennis, pétanque et motocross, sans oublier la Saône pour les activités nautiques, dont le jet ski.
Le château, acquis par la commune en 2010, fait l’objet d’aménagements paysagers durables.
Il se compose d’un grand espace champêtre devant la façade du château qui permet d’accueillir diverses manifestations (repas familiaux, fête de l’école, brocante, fête communale…) et d’un verger conservatoire (20 fruitiers grand vent, accompagnés de petits fruits muriers).
Ce parc possède plusieurs arbres remarquables, dont un cèdre de l’Atlas et des marronniers.
L’église était un prieuré de l’abbaye d’Ainay à Lyon, dédiée à Saint-Paul. Une chapelle, dédiée à Notre-Dame de Lorette, fut construite au XVIème siècle par Jacques Mareschal, seigneur du Parc. On peut y contempler la pierre tombale de ce Seigneur et de sa femme Claudine, mais aussi de son fils, décédés en 1512. Sur cette pierre et à la clé de voûte de la chapelle figure son blason d’«or à bande de gueule chargé de trois coquilles », devenu le blason de la commune.
Les lavoirs, au nombre de quatre, restaurés et bien entretenus, témoignent encore de la vie d’autrefois.
